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 Le Congrès Magique des Etats-Unis (MACUSA)

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MessageSujet: Le Congrès Magique des Etats-Unis (MACUSA)   Le Congrès Magique des Etats-Unis (MACUSA) EmptySam 14 Jan - 21:01


Le Congrès Magique des États-Unis d’Amérique (MACUSA)

Crédits : Pottermore


   
Origines

 Le Congrès Magique des États-Unis d’Amérique, connu dans le monde des sorciers sous l’acronyme MACUSA (communément prononcé : Ma – kuz – a), fut fondé en 1693 à la suite de la création du Code International du Secret Magique. Les sorciers et les sorcières commençaient à penser qu’ils vivraient plus heureux et plus libres s’ils établissaient une communauté secrète possédant ses propres institutions. Ce sentiment était particulièrement fort en Amérique en raison de la récente chasse aux sorcières de Salem.

Le MACUSA s’inspira du Conseil Magique de Grande-Bretagne, précurseur du ministère de la Magie. Élus pour édicter des lois visant à encadrer et protéger le monde des sorciers, ses représentants étaient issus de communautés magiques venues de toute l’Amérique du Nord.

À l’origine, le MACUSA visait à libérer le continent des Ratisseurs, des sorciers corrompus qui pourchassaient leurs semblables pour l’appât du gain. Le deuxième grand défi du MACUSA consistait à renforcer la loi pour lutter contre les sorciers criminels venus d’Europe et d’ailleurs, qui profitaient justement des failles judiciaires existant dans le pays pour se réfugier en Amérique.

Le premier président du MACUSA fut Josiah Jackson, un sorcier belliqueux élu par ses pairs en raison de sa dureté — un trait de caractère jugé nécessaire pour faire face aux retombées négatives de la chasse aux sorcières de Salem.

Au cours des premières années de sa création, le MACUSA ne comptait aucun lieu de réunion et ses membres se rassemblaient en divers endroits pour ne pas éveiller les soupçons des Non-Maj’.


 
Le pouvoir exécutif

  La priorité absolue du président Jackson fut de recruter et de former des Aurors. Les noms des douze premiers Aurors à s’être portés volontaires sont restés gravés à jamais dans l’histoire de la sorcellerie des États-Unis. Ils étaient si peu nombreux et les défis à relever étaient si grands qu’ils savaient pertinemment qu’ils seraient amenés à sacrifier leurs vies en acceptant ce poste. Les descendants de ces mages et sorcières sont depuis lors éminemment respectés aux États-Unis. Les douze se nommaient respectivement :

Wilhelm Fischer
Theodard Fontaine
Gondulphus Graves
Robert Grimsditch
Mary Jauncey
Carlos Lopez
Mungo MacDuff
Cormac O’Brien
Abraham Potter
Berthilde Roche
Helmut Weiss
Charity Wilkinson

Sur ces douze Aurors, seuls deux atteignirent un âge avancé : Charity Wilkinson, qui devint la troisième présidente du MACUSA, et Theodard Fontaine dont le descendant direct, Agilbert, est l’actuel directeur de l’école de sorcellerie d’Ilvermorny. Il convient également de mentionner Gondulphus Graves, dont la famille joue aujourd’hui encore un rôle prépondérant dans la politique magique du pays, et Abraham Potter dont le lien de parenté avec le célèbre Harry Potter sera établi par des généalogistes passionnés des siècles plus tard.


 
Les enjeux

L’Amérique était en ce temps l’une des contrées les plus hostiles qui soient pour les sorciers, et ce en raison des Ratisseurs qui s’étaient définitivement fondus dans la communauté non-maj’ et qui entretenaient la peur de la magie au sein de la population. À l’inverse de la plupart des pays occidentaux, il n’existait alors aucun partenariat entre le gouvernement non-maj’ et le MACUSA.

Un édifice enchanté fut tout d’abord bâti dans les Appalaches pour servir de quartier général au MACUSA, mais avec le temps, le lieu devint beaucoup trop reculé pour les sorciers qui, à l’instar des Non-Maj’, se regroupaient dans les villes pour travailler.

En 1760, le MACUSA fut transféré à Williamsburg, en Virginie, lieu de résidence de l’extravagant président Thornton Harkaway. Parmi ses nombreuses passions, on lui attribue l’hybridation du Croup – un chien en tout point semblable au Jack Russell, à l’exception de sa queue fourchue. La dévotion des Croups aux sorciers n’a d’égal que leur agressivité à l’égard des humains ordinaires. Malheureusement pour le président Harkaway, sa meute attaqua sauvagement des Non-Maj’ des environs qui en furent réduits à japper pendant les 48 heures qui suivirent. Cette transgression du Code International du Secret Magique jeta l’opprobre sur le président Harkaway qui fut contraint de quitter ses fonctions. (Ce n’est certainement pas une coïncidence si Williamsburg fut la première ville des États-Unis à accueillir un hôpital psychiatrique. Les témoignages concernant des faits étranges survenus aux abords de la demeure du président Harkaway ont sans nul doute conduit à l’internement de Non-Maj’ parfaitement sains d’esprit.)

Le MACUSA fut ensuite transféré à Baltimore, ville du président Able Fleming. Mais l’éclatement de la guerre d’indépendance suivie de l’arrivée du Congrès non-maj’ dans la ville mit naturellement les nerfs des élus du MACUSA à rude épreuve et ils partirent s’installer dans la ville qui est maintenant connue sous le nom de Washington.

C’est précisément dans cette ville que la présidente Elizabeth McGilliguddy présida le débat honteux baptisé « Nation ou Communauté ? » tenu en 1777. Des milliers de sorciers et sorcières affluèrent de toute l’Amérique pour assister à cette assemblée extraordinaire à l’occasion de laquelle un sortilège d’Extension fut jeté à la Grande Salle du Congrès. L’enjeu du débat était de déterminer si la communauté magique devait prêter allégeance à son pays d’adoption ou préserver le secret magique à tout prix. Était-elle moralement tenue de libérer les Non-Maj’ américains du joug des Moldus britanniques ? Ou n’était-ce tout simplement pas le combat des sorciers ?

Le débat s’éternisa et finit par s’envenimer. Les pro-interventionnistes avançaient qu’ils pourraient sauver des vies, et les anti-interventionnistes, que les sorciers se mettaient en danger en s’engageant ouvertement dans la bataille. Des messagers furent envoyés au ministère de la Magie, à Londres, pour connaître sa position sur le sujet et revinrent avec un message de quatre mots : « Ce sera sans nous. » Le célèbre message de McGilliguddy fut encore plus court : « Cela vaudrait mieux. » Même si, officiellement, les sorciers et les sorcières n’ont pas pris part au combat, officieusement, de nombreux sauvetages de voisins Non-Maj’ ont été rapportés et la communauté magique célébra le Jour de l’Indépendance au même titre que ses compatriotes – sans toutefois se joindre à eux.

L’une des lois magiques américaines les plus lourdes de conséquences fut ratifiée en 1790, lorsque le MACUSA promulgua un édit visant à instaurer une ségrégation stricte des Non-Maj’. La loi Rappaport — du nom de la présidente en fonctions, Emily Rappaport — fut adoptée en réponse à la pire des infractions au Code International du Secret Magique jamais commises (la révélation de l’existence de la magie au monde entier) — infraction dans laquelle fut impliquée la fille du Gouverneur des Finances et des Dragots de Rappaport, qui était aussi un descendant des Ratisseurs. Suite à l’instauration de cette loi, tout mariage mixte et tout lien d’amitié entre sorciers et Non-Maj’ fut strictement prohibé aux États-Unis.

Le siège du MACUSA resta à Washington jusqu’en 1892, année où l’insurrection inattendue d’une horde de Bigfoots mit de nouveau en péril la communauté magique. Les historiens imputent la responsabilité de cette rébellion à Irene Kneedander, directrice de la Société de Protection des Espèces Magiques (humanoïdes), qui voyait dans son titre l’obligation d’attaquer tout Bigfoot qui « ferait un pas de travers ». L’arrivée des Bigfoots à Washington provoqua de sérieux dégâts au quartier général et nécessita le jet massif de sortilèges d’Amnésie sur la population non-maj’.

Le MACUSA avait besoin d’un nouveau repaire. Au cours des années qui suivirent, des sorciers s’infiltrèrent parmi les ouvriers d’un bâtiment new-yorkais en construction. Lorsque le Woolworth Building fut achevé, il put accueillir les Non-Maj’ et – avec les sortilèges appropriés – se transformer en un lieu dédié aux sorciers. Le seul signe distinctif du nouveau repaire secret du MACUSA était une chouette sculptée au-dessus de la porte d’entrée.


 
Le MACUSA dans les années 20

À l’instar de la plupart des institutions gouvernementales magiques, le Département de la justice magique est le département le plus important du MACUSA.

La loi Rappaport était toujours en vigueur dans les années 20 et plusieurs bureaux du MACUSA n’avaient aucun équivalent au ministère de la Magie. Il existait ainsi un service surveillant la Fraternisation avec les Non-Maj’ et un bureau chargé d’émettre et de vérifier les permis de port de baguettes magiques – permis que tout sorcier foulant le territoire américain se devait de détenir.

Toutefois, la principale différence entre les gouvernements magiques américain et britannique de l’époque résidait dans le châtiment des crimes graves. Alors que les sorciers et les sorcières britanniques étaient envoyés à Azkaban, les pires criminels américains étaient, eux, exécutés.

La présidente du MACUSA en fonction en 1920 était Seraphina Picquery, de Savannah, et le Département de la justice magique était dirigé par Percival Graves, éminent descendant de l’un des douze premiers Aurors américains.

   
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