Annwenn Perkins [16/11/17]

Annwenn Perkins

I'm untouchable darkness, a dirty black river to get you through this. In the mouth of madness, down in the darkness

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Derrière l'écran

Histoire

Je suis née au Caire, capitale de l’Égypte, le 6 juin 1888 de l’union de deux sorciers. Thomas Lewis, mon père, est un sorcier américain dont la passion est de découvrir des objets antiques tant No-Maj que magiques. Diplômé de la maison Oiseau-Tonnerre de la grande école américaine Ilvermorny, il a énormément voyagé de part le monde avant de se poser en Égypte où il y a rencontré ma mère, Maïa bint Sélim. Je n’ai jamais connu celle qui m’a mise au monde mais selon les dires de mon père je lui ressemble en tout point, la maladresse en plus.
Si je n’ai guère de souvenirs des mes premières années de vie, je me rappelle avoir toujours accompagné mon père durant ses fouilles et au début l’ennui m’a donné le goût de la lecture d’aventures de grands sorciers. Mon imagination fleurit durant cette période et ma curiosité m’amena à m’intéresser à l’histoire des non-sorciers. Une nuit, quelques semaines avant de fêter mes onze ans, j’ai reçu la visite d’un Messagers des Rêves m’annonçant ma sélection à l’école de magie de Uagadou et à mon réveil j’ai découvert une pierre, gravée du symbole de l’école, prouvant mon inscription. Alors pour fêter en quelque sorte mon futur dans cette école de magie, mon père m'emmena en Angleterre chez Olivanders et la baguette qui me choisit fut composée de bois d'acacia et d'une plume de phénix.

Etudier à Uagadou  a été l’une des meilleures expériences de ma vie car les matières et la manières dont elles étaient enseignées m’intéressaient beaucoup. Un détail étonnait camarades comme professeurs était le fait que j’avais la capacité de produire de la magie sans baguette, pour la majorité mon origine n’aurait pas dû le permettre. Quoi qu’il en soit j’ai obtenu mon diplôme avec de très bonnes notes et je suis rapidement revenue au Caire pour aider mon père. Nous vivions confortablement de part les trouvailles de mon père depuis des années mais fallut arrêter bien vite cette entreprise lorsque mon père fut victime d'une malédiction posée sur un vieux tombeau et même s'il fut traité rapidement et avec efficacité il en garda quelques séquelles qui l'empêcheraient de se servir à nouveau d'une baguette magique. Alors de part cet accident, que je considère comme un soulagement étant donné que mon père aurait pu souffrir d'une malédiction bien plus qu'une seule fois et le fait qu'il n'en ai subit aucune depuis toutes ces années était un miracle, nous avons prit toutes nos affaires pour revenir sur le continent américain. Le temps du trajet j'ai bien évidemment dû faire ma demande de permis de port de baguette et l'arrivée à New-York a vraiment été un chamboulement avec la différence certaine du nombre d'habitant mais aussi tous ces building. J'ai rapidement ouvert une librairie et j'ai rencontré celui qui est devenu mon époux un soir où je sortais dans un bar sorcier. Si au départ son allure rustre ne m'attirais pas c'est en allant lui parler que j'ai découvert qu'il s'agissait d'un homme sérieux et amusant qui travaillait comme auror pour le MACUSA. Nous sommes sortis quelques mois ensemble avant de nous marier et notre fils, Ethan, est né le 12 mars 1917.

A présent mon activité de libraire est florissante, proposant de la lecture de différents genres et de différentes origines, mon père se porte comme un charme tant qu'il prenne régulièrement sa potion. Ethan a déjà dix ans même si je loue sa passion pour les livres il ne s'empêche pas de faire les quatre-cent coups. James est toujours auror et je m'inquiète pour lui à cause des adeptes du mage noir Grindelwald. Les temps sont durs mais je m'efforce d'y faire face !

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Bienvenue à MACUSA

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