La vie est une chose relative, on ne peut pas comparé la nôtre et celle de notre voisin. Car c'est l'expérience qui fait le savoir et la sagesse et non les années. On peut être âgée de 90 ans sans jamais avoir vécue et appris. Tous comme on peut avoir 20 ans et être déjà bien plus expérimenté que nos aïeux. Tous ce relativise, il ne sert à rien d'aller chercher chez le voisins pour quelques réconfort, ce n'est pas en comparant l'incomparable qu'on arrive à ce tiré de la bornitude de notre quotidien. Pas dans cette vie, ni dans la suivante, encore moins dans les précédentes. Vous voulez entendre le récit de ma vie ? Je vous en pris, prenez une tasse de thé, elle viens de chez moi en Irlande, vous pouvez l'accompagner de quelques petits gâteau également. Nous en avons pour un petit moment...
Décembre 1894 à Août 1907 ;Mon enfance.
Je suis native d'Irlande du Nord, contré des Royaumes Unis. Fille d'un mafieux de passage dans nos bars et d'une femme relativement facile trop jeune pour être mariée, je jetais à ma naissance la disgrâce sur une sang pur qui eût le malheur de ce faire embobinée par le premier venus jusqu'à lui abandonnée sa vertu.
La famille de ma mère faisait partie d'une sorte de « noblesse » chez les sorciers d'Angleterre appelé « sang pur », c'est à dire que jamais la descendance ne fus mélanger aux moldus, ça aurait été une catastrophe pour leurs réputation et leurs avenir. C'est en cela que l'ont peut comprendre la disgrâce de ma mère qui fus sévèrement punis par son clan par sa traîtrise. Une sang mêlée dans la famille ? Mais quel était donc cette insubordination...
Ma mère avait une tante un peu moins sévère que son père qui eût la générosité de la prendre chez elle alors que je n'était encore qu'un bébé criard pour ne pas que nous soyons misent à la rue. Bien sur cet élan de bonté n'était pas sans contre partie car dans notre monde, sorciers ou moldus, tous ce paient, tout ce monnayent. Ma mère devins une sorte de servante et dame de compagnie pour cette riche tante qui travaillais au ministère et était membre du Magenmagot. Je grandis dans un climat sévère mais paisible. Mes précepteurs m'apprirent à lire, à écrire et à compter. On me cultivais beaucoup par la lecture des écrivains de l'époque des lumière Français ou encore la grande littérature Anglaise. Mais également avec une certaine éducation magique, notamment concernant notre histoire, nos guerres et nos acquis.
Mes seuls plaisirs étaient ceux que l'ont retire en laissant voguer notre imagination à mesure que nous découvrons les pages d'un roman, jamais trop fantaisiste cependant, toujours dans l'honneur de notre race supérieur ; celle des sorciers. Je n'avais pas d'amis avec qui jouer, pas de frère et sœurs, pas de cousins ou de cousine. Juste ma mère trop épuisée le soir pour me conté des histoires et ma tantes très sévère pour qui je n'essayais jamais assez. Et les domestiques bien entendus, ceux qui m'apprenais, m'éduquais. Ma seule amie étant la cuisinière Bertha qui m'offrais gentiment des petites douceurs quand j'avais été suffisamment sage.
Ce fus très jeune cependant que je commençais à montrer certains signe qui m'étais propre. À peine âgée de quelques mois, les racines de mes cheveux changeais parfois de couleurs, virant du noir de jais caractéristique de ma famille au blond vénitiens ou encore au rouge quand j'avais de grosse colères. C'est à ce moment là que ma tante compris de quel maux étrange j'étais atteinte, j'avais reçue le dons de métamorphomage. Capable de changer mes caractéristiques physique. Bien sur je ne maîtrisais pas ce dons ce qui horrifiais ma tante qui ne supportais pas l’excentricité et le désordre. De plus, ce dons dévoilais mes humeurs au grès des changements de couleurs de mes cheveux. C'est à force de plus encore de sévérité et de punition que j'appris à maîtriser mon dons en même temps que mes émotions. L'éducation que je recevais m'empêchant de m'exprimer comme je l'aurais voulu, les bêtises enfantines que l'ont commet à l'âge de l'innocence ne m'étant pas permis. Je n'osais plus utilisé ce dons qui m'avait été offert et le cachais de tous. Cependant, il me fus d'un certain réconfort quand le soir à la lueur d'une simple bougie, il m'amusais seule devant le miroirs à l'abri des regards. C’était mon petit secret, entre moi et moi.
Septembre 1907 à Juin 1911 ;Mes années à Poudlard..
Peu avant que j'atteigne l'âge de onze ans, je reçue ma lettre d'acceptation à l'école de sorcellerie Poudlard. Ce ne fus pas une surprise pour ma mère, ma tante ou moi. J'avais été éduquer dans l'optique d'intégrés un jour l'une des plus célèbre école de sorcier du monde de toute façon. Comme tous futurs première année nous avons commencer par aller au chemin de traverse. Ma mère avait économisé pendant des années pour pouvoir m'offrir mon éducation et par soucis de paraître elle ne m'achetais que le meilleur, le plus beau, le plus chic... Sous le regard inquisiteur de ma tante qui voulais s'assurer que malgré mes origines douteuse je ne tâcherais pas le nom de notre famille.
Le premier Septembre je pris pour la première fois le Poudlard Express en direction de l'illustre école de magie d'Angleterre, je m'y fis mes premières amitiés. Puis vins l'épreuve que tous les élèves du château redoutent plus ou moins ; la cérémonie de la répartition. Sans aucune surprise et au grand soulagement de ma mère et de ma tante, je fus envoyer chez les verts et argent, les Serpentard. J'y traversa l'adolescence accompagner d'amitiés, d'amour et d'emmerde. À vrai dire, tout spécialement de petits conflits avec d'autres élèves. Mon cousin en premier lieu dont j'avais été coupé presque toute mon enfance et qui me snobais complètement en raison de « l'impureté » de mon sang.
Être une Serpentard au sang mêlée au début du 20è siècle ne fus pas des plus aisée, en effet l'époque ce prêtais au puritanisme. Et pour mes camarades, le fait même que j’eus été accepter au sein de leurs illustre maison, tout comme une petite poignée d'autre, n'étais pas chose normal. Mais je me fis un petit groupe d'ami tout de même, nous n'étions pas très populaires, nous n'avons pas brillé dans les rencontres sportives et autres activités de Poudlard, mais ensemble nous avons traversé les âges et tissée des liens qui ne ternirons jamais malgré la distance et les changements.
Bonne élève en sortilèges, potions et botanique, je délaissais quelque peu l'astronomie mais me passionnais dès la 3è année pour l'alchimie. Je passais mes BUSES à 15 ans et en obtenue plusieurs avec les félicitations de mes enseignant. Puis vins le temps des spécialisation. Je voulais devenir Potioniste à l'époque et me lançais dans un projet de carrière qui n'aboutirais jamais. J'obtins mes aspics dans les matières que j'avais choisit à l'époque et quittais Poudlard sans vraiment de regrets si ce n'est la nostalgie de la magie de ses lieux. Mais l'excitation de découvrir ce que me réservais l'avenir ne me laissais pas l'occasion d'être triste. Ma vie d'adulte pus véritablement commencer.
Juillet 1911 à Avril 1912 ;L'insécurité liée à l'entrée dans l'âge adulte..
Très vite cependant je me rendais compte des difficulté liée à l'entrée dans ce monde si vaste qui m'ouvrais ses portes. Je me rendais compte du cocon dans lequel j'avais été bercée que ce soit dans mon enfance ou à Poudlard. Je m'installais à Bellfast en Irlande ou je rencontrais mon futur maitre d'apprentissage. Il m'appris tous ce que je sais à présent des potions, des plantes et des remèdes que l'ont ne m'avais pas appris à l'école. Je me perfectionnais de plus en plus mais le chemin ne fus pas sans encombre bien sur.
Au court de mes années d'apprentissage cependant, la varicelle dragonienne emporta ma tante puis ma mère qui c'était occupée de cette dernière. Le chagrin ce fis insupportable et j'eus beaucoup de mal à remonter la pente. Alors que je me crus orpheline, je rencontrais mon géniteur par un concours de circonstance orchestre par ma mère. C'était un moldu Américain qui n'avais nulle connaissance de la magie. De son nom Gaetano Reina il faisait partis me disait-il de la famille Luchesse de New-York. Il me proposais de le suivre là bas, de vivre à ses côtés, de rencontrer mes demi-frère et devenir l'une de ses héritière.
Attirée par le clinquant de sa montre et au luxe de ses vêtements, assortis à de belles promesse je me laissais offrir un ticket à bord d'un paquebot moldu qui devais faire son trajet d’inauguration en date du 10 avril 1912. En première classe qui plus es... Il me laissa me décider et rentrais avant moi dans le nouveau monde. N'ayant plus grand chose me retenant en Angleterre à ce moment là, je pliais bagage et montais à bord du RMS Titanic.
L'histoire du naufrage de ce bateau est particulièrement célèbre chez les moldus. Son triste souvenir et mon impuissance face à cette tragédie reste ancré dans ma mémoire encore aujourd'hui. Nous sommes deux sorciers à avoir survécus à ce naufrage, ayant été mis dans des canot de sauvetage plus ou moins malgré nous, car dans l'ivresse de l'instant, je ne m'étais pas montré apte à réfléchir aux conséquences de mon non-usage de la magie. Aurais-je pu sauver des vies ce jour là ? C'est une question qui me hante depuis bien des années...
Mai 1912 à Décembre 1919 ;La guerre du cœur et du corps..
Arrivée dans le nouveau monde depuis peu, je devais à la fois m'adapter à une nouvelle culture mais également à de nouvelles lois. La sévérité de la communauté magique Américaine ne tarda pas à ce faire sentir. Et quand la rumeur de l'arrivée d'une sorcière Anglaise au sein d'une famille de moldu Américaine ce fis savoir, je ne tardais pas à être convoquer par le Macuza.
La rencontre avec ma nouvelle famille, chose à laquelle je rêvais depuis petite, avait été malgré les zones d'ombres des affaires familiale Luchesse, tous ce dons j'avais toujours rêver. Il me faisait me sentir chez moi dès les premiers instant. Et bien que je devais faire mes preuves et montrer une loyauté nouvelle pour me faire une place, je ne pouvais pas renoncer à ce rêve qui avait été miens tant de fois. Je renonçais donc à ma magie, rangeais ma baguettes et autres artifices de sorcière dans une boite que je scéllais par une clé qui ne quittais jamais mon cou. Mais pas avant un petit sortilège de confusion. En effet, usant de mes dons de métamorphomage je m'offris une nouvelle apparence pour ne plus être retrouver par le Macuza. Le sortilège quant à lui ne me servit que pour manipuler l'esprit de ma famille, les embrouillant pour ne pas qu'ils ce souviennent de mon véritable visage et ainsi profité d'une identité nouvelle.
Je démarrais ainsi une vie de moldu. Je ne peut pas dire que la magie ne m'es jamais manqué, bien sur que ce fus le cas. Mais je devais y renoncer si je voulais vivre avec mon père, mes frères, et ma famille.
C'est deux ans plus tard que par arrangement familial je fus fiancée à un homme dont je tombais amoureuse. Membre d'une famille rivale à la notre, nous devions solidifier une paix nouvelle par une union. Nous avons vécue nos année « Bonnie & Clyde », de bonheur et de passion ou je ne pensais d'ailleurs presque plus au monde de la magie. Je continuais à me faire tenir informé par courrier moldu, ayant demander à une amie à Londres de m'envoyer chaque moi des journaux dissimulé par courrier, mais je m'en tenais uniquement à ça, de maigre coupure de journaux qui tenais le dernier fil avec ma vie de sorcière.
J'aurais dû être mariée en Juillet 1919, mais le destin et le karma sans doute en décidais autrement. C'est alors que j'attendais mon mari à l’hôtel que l'avenir que je m'étais imaginée ce brisa sous mes yeux. La famille de mon futur époux, des armes à feu, mon père répondant à la menace par la menace et un véritable bain de sang. Ma robe blanche taché de rouge et le gâteau qui vole en éclat sous les échange hargneux des deux camps avec mon fiancé, souriant de manière narquoise et moi folle de rage qui essaie de garder de contrôle coûte de coûte...
Voilà le peu de souvenir que je garde de ce sept juillet, ou du moins les mots que je peut encore mettre sur cette date. Il est douloureux pour moi d'en parler et c'est devenu un tabou. Bien entendus mes oncles m'ont cru complice, je ne l'étais pas. C'est mon père, Don de notre famille qui me protégea. Je ne perdis pas seulement un rêve illusoire ce jour la, nous perdions tous mon frère. Et cette peine ce transforma pour moi en haine. Les moldus n'étais que des rustres, ils étaient fourbe et incivilisée. Si la magie régissais leurs barbarie, si j'avais eu ma baguette, jamais mon frère ne serais mort.
Janvier 1920 à nos jours ;Mes années folles..
Je mis du temps à me remettre de ses événements de 1919, mais avec le temps, j'y parvins tout de même. Mon père, faisant face à la prohibition dans les rues de New York, me confiais la tenu et la gestion d'un bar en plein Mannathan. Il pouvais y vendre l'alcool que nous faisions venir d'Italie et d'Angleterre. J'étais le visage de ce pub, pendant que mon frère et mon père comptais la caisse. Avec les années je m'étais durcie, mon cœur c'était fermé aux hommes et j'étais devenue bien plus froide et distante.
Ce bar était devenue ma raison de vivre, j'y chantais, je m'y pavanais. J'aimais qu'on puisse s'y retrouver et s'amuser. Le Jazz, la fête, le champagne. Nous y étions bien, c'était nos années folles. J'habitais l'appartement au dessus de mon pub, ce qui me permettais de toujours garder un œil sur mon plus grand amour. Faire des cocktail et servir de la liqueur ne ce rapproche pas de ma passion pour les potions, mais me permet toujours d'inventé mes recettes en un certains sens. Ma baguette est toujours raccroché et bien qu'elle me manque, je ne vois pas comment, dans le climat actuelle, la reprendre. Je vois par le biais des coupures de journaux que m’envoie mon amie à Londres les idées de celui que l'ont diabolise : Grindewald. Serait-il la solution à mes problèmes ? Asservir les moldu, leurs apprendre qui est la race supérieur, pour enfin être libre d'être moi même ?
J'aime mon père et mon frère, leurs manières avec moi son tout à fait convenable. Cependant souvent je pense que mes oncles et plusieurs de leurs amis auraient besoin d'une bonne leçon, ravalé mon orgueil n'ai pas aisée, je le fait pour ne pas avoir de problème avec mon père ou avec le Macuza depuis le temps que je vis dans l'illégalité. Mais petit à petit certaines idée migre en moi et je me découvre partisane de celui que l'ont appel mage noir... Je le cherche, je l'étudie, j'adhère à ses notions progressiste. Car peut être que la meilleure manière de guérir notre monde, de nous entendre avec les moldu et de libéré une société magique Américaine brimée serait de ce ralliée à celui qui nous propose enfin la liberté.